Le numérique n'est pas envisagé comme une fin mais bien comme un vecteur facilitateur, une philosophie, un prérequis à la réflexion pour la mise en oeuvre rationnelle des projets.

La dématérialisation est un objectif fort de ce mandat : en interne, notamment avec la mise en oeuvre d'un parapheur électronique pour l'ensemble des flux documentaires et de décisions, la dématérialisation de la convocation et des documents de séances des assemblées consultés sur tablettes, mais aussi en externe avec la généralisation des téléservices à tous les domaines, là où l'action de la collectivité peut être améliorée en coûts, en efficacité et en disponibilité.

Le numérique est employé pour la mise en oeuvre et l'amélioration de services plus pratiques, mobiles, solidaires. Il est à la base de l'amélioration de l'efficacité de l'action publique, de l'amélioration du lien social, de la contribution des citoyens à la chose publique, au travers d'espaces de concertation, grâce à l'ouverture des données, et via une diffusion de l'information rationnelle et mieux ciblée.

Le numérique est également mis au service du développement économique, de l'emploi, de la formation des jeunes (bourse aux stages en ligne), et de l'enseignement (espace numérique de travail dans toutes les écoles et TBI dans chaque classe).

Le numérique sert l'enjeu d'optimisation de l'action publique par l'optimisation des processus de gestion.

La culture n'est pas en reste et se met à la portée de tous via le numérique. Le numérique entre également dans les disciplines artistiques. La communication autour de la culture se recentre autour d'une politique cohérente grâce au lancement du "portail culture" qui fédère les initiatives et événements publics, associatifs et privés du territoire.