La multiplication des modes et de la fréquence des connexions doit permettre de faire évoluer le rapport entre l’administration et les citoyens. En matière de services publics comme dans d’autres domaines, une double exigence nous anime : savoir rester « humains » et proches tout en étant modernes, en particulier dans la relation à l’usager. Le numérique ne remplace pas le contact humain, il le complète et devrait même l’améliorer. Il permet notamment, un accès permanent aux services publics, de simplifier les démarches, de gagner du temps, de favoriser le suivi pour les habitants, d’améliorer le traitement des données, etc. Tout cela permet de libérer du temps pour l’accompagnement de ceux qui en ont besoin lors de rendez-vous moins administratifs mais plus qualitatifs.