Les élu·es au numérique préparent leur Congrès
Chaque année, en préparation du Congrès national des élu·es au numérique, Villes Internet donne la parole aux maires, élus et élues au numérique membres du réseau pour qu’ils et elles expriment leurs priorités politiques pour un Internet citoyen au service de la collectivité. Ces entretiens ont servi à préparer la motion du 4e Congrès national des élu·es au numérique, ainsi que les 492 autres contributions qui ont été formulées. Cette motion a été rédigée par les élus le 6 octobre 2022 et remise à la Première Ministre.
Depuis le 30 août 2022, la réflexion dans le cadre du Congrès national est ouverte. Gaëtan Constant, adjoint au maire de Villeurbanne (69) chargé de la qualité du service public et fracture numérique, ouvre une série d’entretiens de contribution à cette réflexion.
Il dessine deux enjeux primordiaux. D’une part, l’accès au numérique pour tous à trois niveaux. Au niveau des infrastructures, au niveau économique et au niveau de l’inclusion.
Le 21 septembre 2022 à 10 h 45, Pascal Hureau, adjoint au maire de Montrouge (92) @@@@@2022#Territoire d’Excellence Numérique chargé de la transformation numérique et des relations européennes, a représenté Villes Internet au salon Innopolis dans la table ronde sur la maturité numérique. Au programme, la réponse à la question : comment mettre les nouvelles technologies au service du bien commun ?
Farah Khan, est vice-présidente de la communauté d’agglomération du centre littoral (Guyane) @@@@2022 apporte sa contribution au débat. La CALC est également présente lors des débats le jour du Congrès.
Dominique Marty est membre associé du bureau Transformation numérique de la Sicoval (31) et adjoint au maire de Belberaud. la Sicoval a récemment adhéré à l’association Villes Internet. Pour lui “Le travail que fait Villes Internet est très intéressant, il fallait y être”.
Pour lui, le numérique doit apporter un plus aux citoyen·nes, les rapprocher des services publics et de leurs élu·es. Il ne doit pas être un facteur d’éloignement. En ce sens, une attention particulière doit être portée aux personnes éloignées du numérique.
Pour elle, il faut toujours garantir que quelqu’un soit derrière les outils numériques. En effet, nous faisons face à un taux d’illectronisme de nos concitoyen·nes très important. Pour leur répondre, les agent·es (ou les salarié·es dans le privé) ne sont ni aguerris ni suffisamment formé·es.